Famille et alimentation
15 février 2020

Vie économique

  • Ouvrir des dispensaires vétérinaires publics offrant des tarifs préférentiels aux associations et aux personnes en difficulté, selon des critères déterminés tels des revenus modestes.
  • Prévoir un budget consacré aux actions en faveur des animaux (subventions aux associations, gestion urbaine, sensibilisation, éducation, formation, alimentation…).
  • Insérer une clause de protection animale dans les marchés publics et les contrats avec les prestataires :
    • Refuser les produits d’origine animale issus de l’élevage intensif (uniquement du plein air), ou ceux issus d’animaux tués dans un abattoir pratiquant l’abattage sans étourdissement ou utilisant l’étourdissement au CO2.
    • Privilégier les produits n’ayant pas d’incidences négatives sur les animaux (produits d’entretien non testés sur les animaux…).
  • Prendre en compte les intérêts des animaux dans les autorisations d’activités et d’occupation du domaine public délivrées par la ville lors de toutes les opérations et manifestations organisées sur le territoire de la commune.
  • Prendre en compte la présence et la circulation des animaux dans l’attribution des marchés publics communaux en vue de la réalisation d’ouvrages et d’aménagements (installations anti-électrocution, corridors écologiques, passages fauniques…).
  • Favoriser le développement de l’offre de plats végétariens et végétaliens dans le secteur privé (restaurants, hôtel, entreprises…).
  • Renforcer les contrôles sur l’utilisation des animaux vivants dans le cadre de manifestations commerciales ou culturelles (salons…).