Liste soutenue par le Parti animaliste pour les élections européennes de mai 2019
Après une entrée remarquée dans le paysage politique français lors des élections législatives de 2017, le Parti animaliste présente une liste aux élections européennes qui se tiendront le dimanche 26 mai 2019. Pour pouvoir voter, vous devez simplement être à jour sur les listes électorales (vérifier votre situation en cliquant ici). La liste est nationale et des bulletins de vote seront disponibles dans tous les bureaux de vote de métropole et à la Réunion.
Découvrez la liste des candidates et candidats, liste paritaire et nationale

- 1. Hélène THOUY (Gironde) 35 ans, avocate / cofondatrice du Parti animaliste
- Hélène intervient et conseille des associations et des militants engagés pour la cause animale depuis une dizaine d’années. Elle est par ailleurs co-fondatrice de l’association Animal Justice et Droit. Elle est également engagée dans la défense des droits humains et a présidé à cet égard l’Institut de Défense des étrangers du Barreau de Bordeaux.

- 2. Eddine ARIZTEGUI (Hérault) 31 ans, responsable d’équipe RH / coprésident du Parti animaliste
- Depuis huit ans, Eddine est engagé auprès d’associations dans l’aide envers les personnes âgées en précarité sociale et dans la protection animale. Il considère que ces élections européennes sont une chance car la proportionnelle nous donne la possibilité d’unir toutes les personnes qui veulent protéger les animaux, peu importe leurs différences d’opinions quant aux autres thématiques. L’union fera la force et nous réussirons ensemble à faire évoluer la législation.

- 3. Isabelle DUDOUET-BERCEGEAY (Loire-Atlantique) 51 ans, salariée dans le domaine de la santé / cofondatrice du Parti animaliste
- Ancienne administratrice d’une association nantaise dans le domaine de l’écologie, elle a aussi été présidente d’une association nationale, et est bénévole depuis 26 années pour des associations de protection des animaux. Après avoir constaté l’inaction des décideurs politiques malgré la multiplication des scandales de maltraitance animale, elle a choisi de politiser la question animale en cofondant le Parti animaliste. Candidate lors des élections législatives, elle souhaite aujourd’hui porter la voix des Français, de plus en plus nombreux, n’acceptant plus le sort réservé aux animaux dans notre pays et en Europe.

- 4. Nicolas BUREAU (Hauts-de-Seine) 34 ans, juriste spécialisé en droit européen et en politique européenne
- Nicolas connaît bien le monde politique pour avoir travaillé dans différentes institutions (pouvoirs exécutif et législatif). Il est engagé depuis des années dans le monde associatif et la protection animale, et reste convaincu que la sensibilisation – nécessaire – du grand public et des entreprises doit s’accompagner d’une action franche de la part des décideurs politiques. Il s’engage au Parti animaliste pour changer la donne.

- 5. Laure GISIE (Haut-Rhin) 23 ans, étudiante en Master 2 – droit de l’environnement
- Diplômée d’un Master en droit animalier, Laure termine à présent un second Master en droit de l’environnement. Investie au sein du Bureau national du Parti animaliste, elle s’occupe également du service juridique et du suivi des adoptions d’une association pour aider les galgos d’Espagne.

- 6. Henry-Jean François SERVAT (Bouches-du-Rhône) 70 ans, écrivain, journaliste, chroniqueur TV
- Outre ses activités professionnelles, Henry-Jean Servat est un homme engagé de longue date dans la cause animale et soutient de nombreuses associations. Il est notamment membre d’honneur de l’Alliance Anticorrida et président d’honneur du Comité Radicalement Anti-Corrida (CRAC). Journaliste et écrivain, Henry-Jean Servat a été reporter à Midi Libre, puis chroniqueur à Libération et a également collaboré à Paris Match en tant que grand reporter pendant plus de 20 ans. Il participe régulièrement à de nombreuses émissions de télévision.

- 7. Isabelle YVOS (Val-de-Marne) 52 ans, Journaliste reporter d’image et réalisatrice
- Isabelle soutient différentes associations de protection animale, et a à cœur de contribuer à imposer la question animale en politique. Elle fait le vœu que chaque citoyenne et citoyen s’empare de ce sujet fondamental. Elle a créé sa chaîne d’information YouTube, estimant que le grand public n’est pas correctement informé des réalités du mouvement animaliste.

- 8. Guillaume PREVEL (Hauts-de-Seine) 40 ans, cadre
- Sensible à la cause animale depuis son plus jeune âge, Guillaume a toujours ressenti un besoin d’agir pour dénoncer l’injustice qui touche la question animale. La création du Parti animaliste a été pour lui l’occasion d’agir autrement que par l’associatif et il s’est porté candidat aux législatives de 2017. Les rencontres faites en campagne électorale l’ont conforté dans l’idée que les Français sont dans l’attente de véritables avancées du droit des animaux.

- 9. Stéphanie CHAGNON (Loire-Atlantique) 45 ans, enseignante
- Militante depuis 30 ans, Stéphanie s’est engagée il y a plus de deux ans au sein du Parti animaliste, il lui a donc paru naturel de soutenir la liste du parti aux élections européennes. Elle souhaite porter les exigences pour les animaux au niveau européen et représenter toutes les personnes qui lui ont fait confiance lors des dernières élections législatives. Plus que jamais, l’existence du Parti animaliste dans le paysage politique lui apparaît d’une urgente nécessité.

- 10. Denis SCHMID (Vaucluse) 70 ans, chef d’entreprise
- Issu d’une grande école d’ingénieurs, cadre dirigeant puis chef d’entreprise, Denis s’est engagé dans la défense de la cause animale avec L214 dont il a créé l’antenne d’Avignon il y a quatre ans. Également initiateur d’un collectif d’associations locales de la protection animale et dans la continuité il veut, par son engagement au sein du Parti animaliste dont il fut un candidat aux législatives, contribuer à en faire un acteur qui pèse sur l’échiquier politique pour y porter la cause animale.

- 11. Michèle STRIFFLER (Haut-Rhin) 62 ans, ancienne vice-présidente de l’intergroupe “bien-être animal”
- Euro-députée et vice-présidente de l’intergroupe “bien-être animal” au Parlement européen de 2009 à 2014, Michèle est actuellement vice-présidente de l’agglo mulhousienne en charge des questions de biodiversité. Elle s’investit pour une union solide des associations afin de peser politiquement et obliger nos dirigeants à prendre des mesures fortes et concrètes en faveur des animaux. La cruauté infligée sous couvert de politiques à la botte des lobbyistes de la viande lui est intolérable.

- 12. Pierre MAZAHERI (Eure-et-Loir) 70 ans, retraité
- Ancien cadre civil au Ministère de la Défense et chargé de cours à l’INALCO, Pierre s’est engagé dans la cause animale, notamment après les révélations sur les conditions inacceptables de l’élevage industriel, et a pris position contre tous les cas de maltraitances animales. Estimant que les droits des animaux doivent être défendus dans le champ politique, il s’est reconnu dans les valeurs et le programme du Parti animaliste, dont il été candidat aux Législatives. Il est également référent de l’association L214 à Chartres.

- 13. Sylvie ROCARD (Yvelines) 73 ans, docteure en histoire, ancienne conseillère en communication, épouse de Michel Rocard
- Après un doctorat en histoire puis un poste de conseil en communication dans la haute administration, Sylvie Rocard, très impliquée dans la cause animale, est devenue administratrice de la Fondation Brigitte Bardot. Elle a partagé sa vie avec le Premier ministre Michel Rocard, également engagé pour les animaux et qui entendait faire respecter le « bien-être animal » au sein du Parlement européen lors de son mandat d’eurodéputé. Sylvie et Michel Rocard vivaient en compagnie de quatorze chats et trois chiens.

- 14. Thierry PORRO (Seine-Saint-Denis) 50 ans, commercial
- Thierry était candidat aux dernières élections législatives en Seine-Saint-Denis et est désormais correspondant départemental, c’est avec passion qu’il rejoint la liste du Parti animaliste pour relever ce défi électoral. Il portera tous ses efforts afin que le parti confirme, et amplifie, le score des dernières élections. La présence de députés animalistes au Parlement européen lui paraît indispensable et voter pour le Parti animaliste, c’est faire de l’Europe une chance pour les animaux !

- 15. Valérie Marie-France PERRIN (Saône-et-Loire) auteure et scénariste
- Auteure de profession, Valérie Perrin est marraine de cœur du refuge de l’Association de Défense et de Protection des Animaux de Gueugnon en Saône-et-Loire, pour lequel elle a notamment mis ses talents de photographe à contribution. Son engagement pour le Parti animaliste s’inscrit dans son implication de longue date pour les animaux. Elle est également photographe et scénariste en co-écrivant aux côtés de son époux le réalisateur Claude Lelouch.

- 16. Jean-Luc DENÉ (Yvelines) 56 ans, ingénieur consultant
- Jean-Luc se présente pour apporter toute son énergie à la cause animale et faire en sorte que de nouvelles lois soient votées en Europe afin de mieux défendre et protéger les animaux. Il a été candidat du Parti animaliste lors des Législatives de 2017 et est aujourd’hui correspondant pour son département.

- 17. Catherine HELAYEL (Yvelines) 57 ans, avocate
- Catherine est candidate car pour elle la protection dont bénéficient (certains) animaux reste anthropocentrée et, bien que notre Code civil ait reconnu la sensibilité des animaux, l’humain les regarde toujours comme des « choses » pouvant appartenir à quelqu’un. De plus, la justice humaine accorde sa protection aux animaux en fonction de l’utilisation qui en est faite. Et enfin, au delà de l’amour qu’elle porte aux animaux, s’engager pour les défendre est avant tout pour elle une question de justice.

- 18. Jean-Marc MIQUET (Seine-maritime) 50 ans, chargé de comptabilité au Crous
- Après avoir été infirmier, Jean-Marc est aujourd’hui attaché principal de la Fonction publique d’Etat. Depuis son enfance, ses chats l’ont toujours aidé à traverser la vie et ses embûches. Il lui paraît important d’investir le champ politique afin que cesse la violence et la cruauté envers les animaux. Il est correspondant du Parti animaliste en Seine-Maritime.

- 19. Béatrice DEPITRE (Seine-Maritime) 64 ans, maître de conférences
- Le traitement de la vie animale préoccupe Béatrice depuis longtemps. Les animaux sont des êtres sensibles, nous avons le devoir de ne pas les maltraiter si nous ne voulons pas perdre notre humanité. Son investissement pour les Européennes au Parti animaliste s’inscrit dans la volonté d’élever le débat de la question de la place de l’animal en véritable débat de société. L’ambition est de renforcer les dispositions européennes protectrices des animaux.

- 20. Jonathan LABAN-BOUNAYRE (Essonne) 28 ans, collaborateur parlementaire
- Pour Jonathan, une démocratie vit de la participation active de l’ensemble des citoyens et à 27 ans, il veut « faire sa part » pour défendre les grands oubliés de notre société : les animaux. Reconnaître des droits pour les animaux, c’est le combat politique du siècle ! Cette vision, il la retrouve dans chacun des axes du programme du Parti animaliste. Attaché à l’idée d’Europe, il veut représenter les animaux et le Parti animaliste aux élections européennes.

- 21. Marie-Laurence DE LARTIGUE (Paris) 52 ans, analyste recherche
- Marie-Laurence à toujours été accompagnée d’animaux récupérés devenus membres de la famille. Elle leur a, et leur donne encore tout son respect et son amour. Selon elle, cette connivence avec les animaux est partagée par les Français et pourtant ils reçoivent souvent moins de considération que des objets, sans aucune politique en leur faveur. Elle a décidé de lutter contre cette injustice, par son militantisme auprès d’associations puis auprès du Parti animaliste, avec force et conviction.

- 22. Jérôme BOCQUET (Seine-et-Marne) 42 ans, éducateur sportif
- Jérôme est correspondant pour le département de Seine-et-Marne

- 23. Muriel FUSI (Paris 15) 39 ans, juriste
- Muriel est convaincue depuis l’enfance que les animaux sont des êtres sensibles et conscients, et que les injustices qui leur sont faites ne sont que l’application de la loi du plus fort. Depuis 2010, elle participe régulièrement à des actions de protection animale. Elle a rédigé des tribunes dans la presse et a été déléguée Île-de-France du CRAC. Pour elle, ces élections sont l’occasion de rassembler l’électorat qui souhaite enrichir les dispositions qui protègent les animaux en Europe.

- 24. George HOMS (Haute-Garonne) 57 ans, co-créateur d’un sanctuaire et ancien consultant en entreprise
- Néerlandais et résidant en France depuis vingt ans, George et son épouse se consacrent à la création d’un sanctuaire pour animaux de ferme, en Occitanie. Pour lui, la cause animale réunit les citoyens au-delà des clivages traditionnels, elle interpelle sur les droits des animaux, sur nos rapports avec eux, et sur l’impact environnemental, alimentaire et la santé. Le Parti animaliste est le seul à poursuivre exclusivement cette cause et à initier un dialogue sociétal profond et serein.

- 25. Virginie CHAUCHOY (Nord) 49 ans, professeure en marketing
- Virginie souhaite participer au changement profond de notre relation avec les autres animaux. Son engagement politique est le moyen d’action complémentaire indispensable à la sensibilisation menée par les associations qui ont fait progresser l’opinion publique sur le sujet. Les élections européennes représentent l’occasion d’obtenir des représentants compétents et entièrement dévoués à la cause animale, qui feront évoluer les législations vers un monde meilleur pour tous ses habitants.

- 26. Julien HOLMGREN (Haute-Garonne) 36 ans, pet-sitter et formateur en anglais
- Julien a fait le choix de s’engager pour la cause animale car c’est un sujet majeur du XXIe siècle, une évolution logique de civilisation. Une question de justice, de morale, et dont les multiples aspects sont présents au sein de notre société et de nos modes de vie. Egalement militant dans des associations, l’engagement politique est primordial pour faire avancer la cause animale dans une Europe qui stagne quant à ces questions qui touchent pourtant de plus en plus de Français. Il était également candidat pour les législatives de 2017.

- 27. Nathalie LAVEDRINE (Paris 8) conseil
- Nathalie est autodidacte, elle n’a pas fait d’études et s’est retrouvée très jeune conseil et chef d’entreprise. Il lui semble qu’une société qui n’est pas capable d’évoluer vers un plus grand bien-être des animaux est une société qui se dégrade. Elle pense que l’éducation et les études devraient davantage être orientées vers une bien plus grande empathie envers les animaux et que nous devons urgemment redresser cette société qui est malade de fausses valeurs et de mauvaises priorités.

- 28. Jean-François STAAD (Bas-Rhin) 52 ans, informaticien
- Militant depuis plus de 15 ans auprès d’associations, Jean-François a trop souvent été déçu que la cause animale n’ait jamais été traitée avec sérieux par les partis dits « traditionnels », perpétuant une attitude inacceptable, non seulement au regard de ce que l’on sait des animaux, grâce à l’éthologie, mais également de ce que l’on fait d’eux, alors que la loi les reconnaît comme êtres sensibles. Pour lui, franchir un palier était nécessaire pour porter au centre du débat politique cette cause.

- 29. Ophélie BALESTAN (Haute-Garonne) 24 ans, comptable
- Pour Ophélie, la politique semble être la meilleure stratégie afin de faire évoluer le sort réservé aux animaux. Sa sensibilité envers les animaux l’a poussé à s’engager auprès du Parti animaliste afin de mettre son engagement politique en accord avec ses principes et son mode de vie. Il lui semble primordial aujourd’hui de politiser la cause animale afin de faire cesser les pratiques les plus génératrices de souffrances.

- 30. Jean-Philippe COURNET (Val-de-Marne) 50 ans, enseignant
- L’arrivée du Parti animaliste a été pour Jean-Philippe l’occasion de s’impliquer afin de mettre politiquement en valeur la question animale trop longtemps oubliée, l’objectif étant de concrétiser des avancées en droit animal et notamment des peines plus lourdes pour toutes les souffrances infligées. Il se définit comme un humaniste-animaliste qui considère que chaque geste, chaque action visant à protéger les animaux et à vivre en harmonie avec eux sert l’humanité et sa façon d’être avec le monde.

- 31. Florence DENNEVAL (Bouches-du-Rhône) 36 ans, en formation
- Florence est militante engagée dans plusieurs associations de défense des droits des animaux. Elle organise régulièrement des actions revendicatives et de sensibilisation du public au sort que notre société réserve aux victimes de l’élevage et de la pêche. Elle entend porter leur voix jusqu’au Parlement Européen. Comme nous, les animaux sont des individus sentients. Ils ont une famille. Ils aspirent à vivre, libres. Il est urgent de prendre leurs intérêts en considération.

- 32. Maxime LOUIS (Moselle) 28 ans, juriste
- Maxime est profondément convaincu que le Parti animaliste a toute sa légitimité pour agir à l’échelle européenne dans la protection animale. Le Parlement européen est la seule institution de l’Union Européenne dont les membres sont élus par les citoyens. Depuis trop longtemps, la cause animale est délaissée au profit d’intérêts financiers. Si vous souhaitez une Europe éthique qui agisse concrètement pour les animaux et donc de surcroît pour les humains, Maxime vous invite à voter Parti animaliste.

- 33. Sophie RAMBOURG (Lot-et-Garonne) 43 ans, gestionnaire marchés publics
- Flexitarienne, Sophie a grandi à la campagne et les animaux ont toujours fait partie de son environnement. Aujourd’hui elle constate que les associations sont en difficulté, les abandons augmentent, les refuges sont saturés, les chats errants sont en détresse, les dérives de l’industrie et les scandales sanitaires se multiplient. Elle s’est engagée après avoir connu le parti animaliste espagnol (PACMA) et estime que les élections européennes sont un véritable enjeu pour la cause animale !

- 34. Nino TOUSSAINT (Bas-Rhin) 19 ans, étudiant à Sciences Po
- Étudiant à Sciences Po Strasbourg, Nino est passionné de débat et de démocratie. Personnellement engagé pour la cause animale depuis 3 ans, il a été frappé par l’immoralité des horreurs que l’humanité fait subir aux animaux. En action au-delà de la cause animale, il est toutefois persuadé qu’il s’agit de l’enjeu moral et écologique le plus sous-estimé et important de ce siècle. Il est également membre du groupe de travail pour la fondation d’une association de jeunesse du Parti animaliste.

- 35. Laurence COUTEILLE (Gironde) enseignante
- Pour Laurence, s’engager politiquement au sein du Parti animaliste résonne comme une évidence pour inverser la machine à la rentabilité qui fait des animaux de rente des outils de production poussés aux limites de leurs capacités physiologiques. Elle se réfère à Einstein disant : « le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal mais par ceux qui les regardent sans rien faire ».

- 36. Grégory MOREAU (Paris 14) 44 ans, Enseignant-chercheur en Physique théorique
- Malgré une prise de conscience globalement croissante sur la question animale, peu d’évolutions politiques en faveur de cette cause ont vu le jour en Europe. Pour Grégory, il est temps que des mesures législatives viennent véritablement protéger tous les animaux. Leur souffrance au quotidien, dans notre société moderne, est insupportable. Sa candidature est portée par le pressentiment que la voix des animaux va s’élever à l’unisson avec les autres partis animalistes d’Europe.

- 37. Marianne KABELIS (Hérault) 35 ans, indépendante en conseil en stratégie
- Il est essentiel pour Marianne de changer la réglementation afin de reconnaître à l’animal une personnalité juridique qui lui est propre, en particulier dans les secteurs de la pêche et de l’élevage. Ancienne juriste aux affaires européennes et internationales, elle sait naviguer dans les institutions européennes. Engagée avec les animaux en communication et médiation animale, elle saura être une porte parole déterminée et enthousiaste.

- 38. Bernard LABAT (Val-de-Marne) 50 ans, juriste salarié associatif
- Diplômé en droit de l’environnement, Bernard a travaillé aux côtés de plusieurs associations de protection de l’environnement. Il souhaite prolonger cet engagement auprès du Parti animaliste pour démontrer que la cause animale, loin d’être anecdotique, est désormais au cœur de toutes les transitions à mener. Pour lui la prise en compte de cette question est une promesse trop longtemps négligée et protéger l’animal dès aujourd’hui, c’est avant tout être réaliste !

- 39. Véronique SILVERIO (Gironde) 68 ans, juriste retraitée
- Véronique se réfère à V. Hugo en citant « Rien n’est plus fort qu’une idée dont l’heure est venue ». Pour elle, l’élection européenne affichera l’unité des partis animalistes européens et sera la vitrine politique d’un mouvement citoyen qui ne cesse de grandir et qui devrait inspirer les élus et le pouvoir exécutif français. Avec le Parti animaliste, pas d’ambiguïté, la voix des sans voix sera portée.

- 40. Quentin CHAROY (Haute-Garonne) 24 ans, sans emploi
- Quentin s’oriente vers une formation dans l’agriculture. S’il a choisi de s’investir avec le Parti animaliste c’est parce qu’il considère que son programme riche peut permettre de changer la vie de plusieurs millions d’animaux ; qu’ils soient victimes de l’élevage, de la pêche, du divertissement ou de pratiques sadiques. Porter la voix des animaux, c’est porter la voix des opprimé·e·s. Pour lui, un monde plus juste pour les humains commencent par un monde plus juste pour les animaux.

- 41. Rachel DARCQ (Var) 48 ans, agent animalier dans une association et auxiliaire spécialisée vétérinaire
- Ayant pris conscience des multiples maltraitances vécues par les animaux, Rachel est persuadée de la nécessité impérative d’actions individuelles mais surtout politiques. Sa motivation est basée sur un sentiment d’injustice inacceptable à l’égard des êtres sensibles victimes d’exploitation et de matérialisme outrancier. Elle désire s’investir totalement afin de faire connaître le Parti animaliste et ses perspectives.

- 42. Jean-Luc VIEILLERIBIERE (Paris 9) 50 ans, RH en secteur public
- Son expérience de haut fonctionnaire dans le domaine social permet à Jean-Luc de vivre ses valeurs de solidarité et d’intérêt général. Pour lui, l’attention à la sensibilité des animaux en est devenue un élément essentiel : notre humanité est à la mesure de la considération que nous leur portons. Avec le Parti animaliste, il s’engage pour une Europe à la pointe de ce progrès de civilisation et garante d’une économie respectueuse des animaux.

- 43. Bérengère HUMBERT (Alpes-maritimes) 52 ans, ancienne enseignante référente Handicap
- Optimiste et bienveillante, Bérengère a toujours été à l’écoute des autres. Bénévole ou adhérente dans l’humanitaire, la défense des personnes en situation de handicap ou la protection animale, son engagement pour les animaux va de pair avec son engagement pour les humains. Son objectif est donc de tout mettre en oeuvre pour permettre au Parti animaliste de gagner en visibilité et en notoriété et bien sûr d’obtenir des sièges au Parlement européen.

- 44. Nicolas PRUVOST (Hérault) 47 ans, chargé d’information jeunesse et événementiel
- Nicolas considère que l’humain aura considérablement évolué une fois qu’il réexaminera la place de l’animal dans la société. Selon lui, notre devoir est de protéger les animaux par des lois spécifiques, en sensibilisant les générations futures, en abolissant toute pratique ou tradition d’un autre âge et en régulant l’élevage intensif. Pour un monde plus juste, durable et bienveillant, il vous encourage à faire le choix du Parti animaliste !

- 45. Catherine DENEUVE (Charente-Maritime) 63 ans, enseignante
- Catherine s’engage pour le Parti animaliste car elle considère que les animaux sont traités comme au Moyen-Age, avec des pratiques barbares au nom d’une pseudo tradition et des actes qu’un humain ne devrait même pas penser à commettre. Il est plus que temps que nous fassions avancer la cause animale. Elle s’oppose à la chasse, la corrida, aux cirques avec animaux et aux pratiques actuelles d’élevage et de pêche. Elle reste persuadée qu’ensemble nous ferons avancer la cause.

- 46. Richard ZANCA (Alpes-maritimes) 53 ans, comédien
- Animé par un profond respect pour la vie sous toutes ses formes, Richard souhaite donner, aussi, la parole à ceux qui ne l’ont pas. Les “animaux non humains » doivent être aimés et défendus, le sort de l’humanité toute entière en dépend. Les milliards d’animaux torturés et tués chaque année pour des raisons diverses, y compris par loisirs, représentent un génocide qui n’est plus acceptable au XXIème siècle. Seules les lois et le débat politique peuvent remédier à cela.

- 47. Anaïs BOYER (Loiret) 23 ans, animatrice et chargée de communication en Jardin de Cocagne
- Engagée depuis sa plus tendre enfance pour la défense des animaux, et ayant obtenu un master en communication et conseil politique, il était inévitable pour Anaïs de rejoindre le Parti animaliste. Pour elle, la cause animale est un enjeu primordial dans notre société, il est temps de la porter sérieusement au niveau politique. Les animaux sont des êtres sensibles méritant du respect ainsi qu’une vie décente. Il est inconcevable à notre époque que les pratiques atroces à leur encontre n’évoluent pas.

- 48. Vincent THORIN (Hauts-de-Seine) 34 ans, comédien voix et voix off
- Nombre de ses amis néerlandais soutiennent le Partij voor de Dieren et étant un grand amoureux des animaux et de la nature depuis tout jeune, Vincent a voulu savoir si l’on pouvait voter pour un parti similaire qui se bat pour le droit et la défense des animaux en France. C’est ainsi qu’il a découvert le Parti animaliste lors des élections législatives de 2017 et qu’il a décidé de le rejoindre peu de temps après car il est urgent d’agir pour tous les animaux et la planète dès maintenant.

- 49. Eléonore PICOT (Val-de-Marne) 28 ans, juriste
- Selon Eléonore, l’humain instrumentalise l’animal et il est donc de son devoir de le protéger en prenant les mesures nécessaires à la préservation de son bien-être. Les évolutions ne pouvant se limiter uniquement au niveau national, il est impératif que la cause animale soit prise en compte au niveau de l’Union Européenne. En tant qu’être sensible à la condition animale, il lui apparaît donc impératif d’agir pour cette cause qui lui tient tant à cœur.

- 50. Antoine STATHOULIAS (Nord) 37 ans, avocat et chargé d’enseignement
- Avocat et chargé d’enseignement Antoine s’est engagé pour la cause animale en rejoignant des associations et collectifs afin de sensibiliser le public au triste sort réservé aux animaux. Grâce au Parti animaliste et en raison des valeurs qu’il promeut, il a décidé d’étendre son action au niveau politique afin que les intérêts des animaux soient sincèrement et efficacement défendus au sein des institutions qui nous gouvernent, comme le souhaite une majorité de Français·e·s.

- 51. Sabrina VERDIER (Hautes-Pyrénées) 47 ans, créatrice
- Ayant toujours vécu dans une région où la maltraitance animale est omniprésente sous couvert de traditions, Sabrina a grandi avec le sentiment d’injustice faite aux animaux. Toujours entourée d’animaux, elle a voulu devenir actrice de la défense animale. Le Parti animaliste a donc été une révélation : se présentant ainsi d’abord aux législatives et maintenant aux européennes. Pour elle négliger l’animal c’est négliger l’humain. Il est urgent de donner une voix à ceux qui ne peuvent se défendre.

- 52. Kevin MEILLET (Seine-et-Marne) 29 ans, employé à Disneyland Paris
- Sensibilisé à l’importance de la vie animale depuis son plus jeune âge, Kévin souhaite pouvoir faire entendre la voix des animaux au niveau européen et faire avancer cette cause qui lui apparaît essentielle. La politique étant un levier majeur pour pouvoir faire changer les choses, sa candidature trouve toute sa place dans ce combat qui se jouera dans les années à venir.

- 53. Patricia GEMELLI-KLOCHENDLER (Paris 5) 58 ans, blogeuse et auteure de livres de nutrition
- Née en Argentine, Patricia a grandi entourée d’animaux domestiques et de ferme, omniprésents dans ce pays considéré comme très carnivore. Pour elle, mettre la condition animale au coeur des enjeux politiques devient une urgence et en se portant candidate, elle défend une cause qui n’est pas gagnée d’avance mais dont elle est sûre qu’elle est juste. Sa personnalité sincère, spontanée, pleine d’amour et de compassion mais aussi très combative seront ses atouts.

- 54. David CRÉZÉ (Loire-Atlantique) 48 ans, policier
- Sensible à la cause animale et à la condition des femmes dès son plus jeune âge, David a érigé le respect d’autrui comme la pierre angulaire de son quotidien. Après 30 années passées au service des personnes, occupant, tour à tour, les postes de référent violences avec arme, mœurs, mineurs-victimes, violences conjugales et famille, au sein des services de Police, il veut désormais se consacrer à la cause animale. S’il salue le travail accompli par les associations, il est persuadé que la prochaine étape passe par la représentation démocratique.

- 55. Samantha ROSE (Drôme) 28 ans, responsable RH
- Sensible à la cause animale depuis son enfance, bénévole dans diverses associations, Samantha agit aujourd’hui en politique pour se prononcer en faveur de lois respectueuses des animaux. La présence du Parti animaliste aux élections européennes lui semble être une réelle opportunité pour obtenir des résultats concrets. Entreprendre au sein du triptyque, consommation responsable – monde associatif – champ politique, lui apparaît nécessaire pour défendre globalement ses valeurs et convictions.

- 56. Denis DEL NISTA (Charente-Maritime) 50 ans, médecin urgentiste
- Denis est depuis plus de 20 ans au service des humains et considère que tous les être sensibles doivent bénéficier de respect, de considération et de soins. Après avoir vu une affiche du Parti animaliste aux législatives de 2017 et lu son programme, il s’engage immédiatement dans ce mouvement qui lui semble le seul du paysage politique à correspondre à ses convictions. Triathlète et cycliste longue distance, il montre également que sports d’endurance et alimentation végétale se marient à merveille.

- 57. Jeannette BRAZDA (Essonne) 49 ans, animatrice d’arts plastique et conseillère municipale
- Pour Jeannette, le Parti animaliste est une chance pour dépasser les frontières que nous imposent les idéologies des partis traditionnels et leurs clivages. Pour elle, éradiquer toutes les souffrances est illusoire mais nous devons tout faire pour les combattre et l’Europe est un des lieux essentiels pour agir. Très active dans le milieu associatif, elle est également conseillère municipale et a été suppléante lors d’élections législatives et cantonales.

- 58. Jérôme SEGAL (Seine-Saint-Denis) 48 ans, enseignant-chercheur
- Jérôme est maître de conférences à l’université Paris Sorbonne mais aussi chercheur et journaliste à Vienne, en Autriche, où il vit depuis 15 ans. Ayant également vécu à Berlin pendant 7 ans et multilingue, il est un européen convaincu. Pour lui, l’Europe s’est cependant jusqu’à présent construite en négligeant la question animale et il est temps que des avancées majeures se réalisent dans ce domaine, ce qui correspond d’ailleurs à une aspiration profonde de nos concitoyens.

- 59. Sarah LAURENT (Loir-et-cher) 39 ans, conseillère bien-être et médecines douces
- Tour à tour bénévole à la SPA, puis enquêtrice pour la Fondation Bardot, Sarah a sauté le pas et s’est engagée lors des deux dernières élections législatives. Son but : rendre la question animale visible. Membre de diverses associations, elle milite activement pour ceux qui ne peuvent se défendre. Aujourd’hui, elle renouvelle son engagement et désire porter haut cette cause qui est celle de tous.

- 60. Charles DUKE (Paris 7) 53 ans, anthropologue et primatologue de formation
- De nationalité franco-américaine, Charles s’engage avec le Parti animaliste pour politiser la cause animale sur une échelle nationale et européenne. Les animaux méritent notre aide et protection car ils demeurent sans voix et très vulnérables. Il considère qu’à l’instar d’autres partis européens militant pour les animaux tels que Pacma, Party for the Animals et l’Animal Welfare Party, le Parti animaliste sera une force de proposition et de changement.

- 61. Edwige LAGAIN (Seine-et-Marne) 44 ans, professeure des écoles
- Edwige a choisi de faire face à l’inconséquence et à la brutalité, de promouvoir l’apaisement par l’action politique et épousé l’optimisme dans le partage étendu des valeurs que le Parti animaliste incarne. Son engagement envers les animaux a été – et demeure – celui du cœur. Quand les initiatives personnelles, telles que le bénévolat associatif ou le soutien financier, n’ont plus suffi à panser le chagrin de leur détresse indécemment croissante, il lui est apparu évident d’œuvrer publiquement.

- 62. René DESSARD (Meurthe-et-Moselle) 56 ans, employé à la sécurité et santé au travail et conseiller municipal
- Lorsque René prend connaissance de l’existence du Parti animaliste, son adhésion est immédiate. La cause animale doit être entendue et défendue. Il n’est pas tolérable d’utiliser des animaux pour les plaisirs récréatifs ou de parure ni d’accepter que l’alimentation soit basée sur des critères de productivité et de rentabilité annihilant ainsi toute considération de la sensibilité des êtres vivants. Les reportages associatifs de défense des animaux lui démontrent la nécessité d’un engagement politique.

- 63. Marie-Thérèse DRELON (Hauts-de-Seine) 63 ans, cadre administratif associatif
- Déjà candidate en 2017 pour les législatives, Marie-Thérèse s’engage à nouveau avec le Parti animaliste pour les européennes, car elle estime que le sort réservé aux animaux est indigne d’un pays dit « civilisé ». Selon elle, le Parti animaliste a toute sa légitimité pour y participer et ces élections représentent l’occasion de faire évoluer la législation. En agissant pour les animaux, nous agissons également pour les humains, dans l’optique d’une société plus juste.

- 64. Tom CHEVALIER (Paris) 22 ans, étudiant en master de politiques environnementales
- Depuis ses 18 ans Tom est engagé en faveur des animaux et il a cofondé à Sciences Po l’association « Le Cri de la Carotte » ayant pour but d’animer le débat autour de l’antispécisme et du véganisme. Alors que trois milliards d’animaux, marins et terrestres, sont tués chaque jour dans le monde et que 90% des Français·e·s estiment que le bien-être animal est un enjeu important, peu d’actions sont entreprises pour améliorer leur sort. L’Europe a le pouvoir d’aider les animaux, et c’est pour cela que Tom souhaite se porter candidat aux élections européennes avec le Parti animaliste

- 65. Magali DESTRUEL (Essonne) 53 ans, avocate
- Titulaire d’un Diplôme Universitaire de Droit animalier, Magali intervient à titre professionnel dans des dossiers de maltraitance animale. Elle est particulièrement intéressée par l’évolution du statut juridique de l’animal sauvage, sur lequel elle a rédigé son mémoire, et militante pour une évolution des pratiques de chasse. Végétarienne depuis toujours, elle souhaite la mise en place du programme d’accompagnement à l’évolution des pratiques alimentaires vers une gastronomie végétale.

- 66. Alexandre SEGALINI (Landes) 38 ans, directeur commercial
- Alexandre considère que l’humain a la lourde tâche de cesser les souffrances inutiles infligées au règne animal. Respecter la faune et la flore dans son ensemble, prendre en considération, avec empathie, tous les êtres doués de sensibilité qui nous entourent, doit permettre à l’humain de rendre ce monde plus généreux et moins violent. La nature s’offre en spectacle, chaque jour, à nous de l’écouter avec suffisamment d’humilité pour redécouvrir le lien qui nous unit avec les animaux.

- 67. Sara GESTEIRO (Essonne) 28 ans, professeure des écoles
- Sara milite depuis sept ans pour la cause animale et accueille des animaux abandonnés ou en danger. Son bénévolat dans un refuge et son étroite collaboration avec le PACMA (parti animaliste espagnol) l’ont persuadés que la condition animale ne peut changer durablement que si les revendications sont portées au niveau politique et fixées par des lois. La société d’aujourd’hui est prête à agir en faveur des animaux et c’est pourquoi elle se présente dans le cadre de cette élection

- 68. Boris DUREL (Paris 13) 31 ans, éditeur
- Sensible à la cause animale depuis longtemps, Boris a toujours cherché une façon de s’engager dans cette lutte importante. Candidat aux élections législatives auprès du Parti animaliste en 2017, avec à cœur des questions comme les droits des animaux d’élevage et la sensibilisation du public aux thématiques des animaux dans notre société, il considère que ces questions sont toujours en attente de réponse de la part d’une grande part de la société française. C’est dans ce contexte qu’il représentera le Parti animaliste aux élections européennes.

- 69. Christelle FONTAINE (Val-de-Marne) 34 ans, pharmacienne
- Pharmacien d’officine, Christelle a eu sa propre pharmacie durant 5 ans puis a décidé de la vendre pour se consacrer à la cause qui lui est la plus chère : porter la voix des animaux. Elle est fière d’intégrer le Parti animaliste, dont les valeurs éthiques l’ont séduite. Elle souhaite que le respect des animaux tienne une plus grande place dans notre société, et que les atrocités commises contre eux cessent ou soient au moins punies comme il se doit.

- 70. Romain HADJALI (Bouches-du-Rhône) 29 ans
- Diplômé d’école de journalisme spécialisé en développement durable Romain souhaite donner de la visibilité à la question animale. Si les animaux comprennent mieux le langage humain que nous le leur, il est temps que ceux qui les ont compris les traduisent en politique. Pour lui, le Parti animaliste permet ainsi aux citoyens qui le souhaitent d’exprimer leur voix pour celles des animaux qui eux ne le peuvent pas.

- 71. Marie MAINVILLE (Bouches-du-Rhône) 60 ans, journaliste
- Militaire de carrière dans l’Armée de l’Air, Marie s’est reconvertie dans la presse équestre. Végétarienne, elle a été sensibilisée à la cause animale de par une famille impliquée et ses activités de déléguée-enquêtrice et de famille d’accueil pour la SPA. Il lui paraît plus qu’urgent aujourd’hui de reconsidérer le respect des animaux. S’investir auprès du Parti animaliste représente l’opportunité de faire évoluer la condition animale et de la propulser dans un paysage politique qui l’ignore bien trop souvent.

- 72. Stéphane LEGRAND (Hauts-de-Seine) 53 ans, ingénieur support
- Stéphane a toujours recueilli et cherché à sauver des animaux, au grand dam de ses parents, et est bénévole à l’Association de Secours aux Chiens Nordiques (ASCN) depuis 2012. Il a rejoint le Parti animaliste pour faire progresser la cause animale au niveau politique, pour que les souhaits de la majorité de la population soient respectés : interdiction des animaux dans les cirques, de la chasse, et de la corrida. Il est candidat parce que selon lui les animaux méritent notre respect notre protection.

- 73. Delphine SIMON (Hérault) 46 ans, adjointe DRH au Crous
- Engagée depuis 25 ans dans la défense des animaux, Delphine s’est investie dans de nombreuses associations. Le programme du Parti animaliste lui correspond en tout point et c’est pour cela qu’elle a décidé de s’investir et de participer à ces élections ! Constatant que les autres partis ne tiennent pas compte des revendications pourtant légitimes, elle pense qu’il est de notre devoir de nous engager en politique pour porter la voix de ceux qui n’en ont pas.

- 74. Jean-Paul VIGARIÉ (Haute-Savoie) 70 ans, ostéopathe
- Depuis son enfance, Jean-Paul défend les animaux car il a toujours trouvé intolérable les souffrances qu’ils subissent. Il était déjà candidat lors des législatives et comme il reste beaucoup à faire il veut, avec le Parti animaliste, n’avoir de cesse de lutter contre la barbarie, la cruauté et le mépris imposé aux animaux. Il est particulièrement sensible aux animaux abandonnés ou maltraités et souhaite renforcer les contrôles des acquisitions d’animaux de compagnie.

- 75. Donia BEN DJEMAA (Paris) 33 ans, responsable Administratif et Financier
- Végétarienne depuis l’enfance, Donia a toujours été sensible à la question de la protection des animaux. La sensibilité et l’intelligence des animaux sont des sujets écartés dans notre société. Afin d’accorder de l’importance à la question animale dans le débat public, Donia s’engage avec le Parti animaliste pour le rendez-vous des élections européennes. Faire entendre la voix de ceux qui n’en ont pas est essentiel si nous souhaitons vivre dans un monde fait d’empathie et de bienveillance.

- 76. Brice MBOUANI (Val-d’oise) 30 ans, ingénieur informatique
- Militant politique et citoyen engagé, Brice a arrêté de consommer les animaux après avoir vécu l’expérience de leur sensibilité. Témoin de l’injustice de notre modèle économique, de la soumission des animaux et de la crise climatique, il lui apparaît que la question animale est un enjeu éminemment politique. Débattre, convaincre au niveau européen, telles sont selon lui les armes idéales pour abolir l’asservissement des animaux par l’idéologie capitaliste et son modèle économique productiviste.

- 77. Isabelle DEPOORTER (Maine-et-Loire) 59 ans, enseignante en lycée professionnel
- Isabelle ne supporte plus l’immobilisme politique face à l’incommensurable souffrance des animaux. Elle fait partie d’associations de protection animale, milite et donne, tout en réalisant que rien ne bougera tant que la cause animale ne sera pas politisée. Elle était également candidate aux législatives de 2017. Pour que la question animale soit enfin prise en compte, pour que les droits des animaux soient enfin respectés, pour ne plus avoir honte de vivre dans une société indifférente à leur infinie détresse.

- 78. Emmanuel OLLIVIER (Val-de-Marne) 47 ans, directeur d’établissements sociaux
- Depuis plus de 15 ans Emmanuel est professionnellement engagé auprès des exclus de notre société où il côtoie quotidiennement l’injustice sociale et la souffrance. Il est persuadé de l’interdépendance entre la souffrance de l’humain et les conditions de vie des animaux. Recréer du lien et de la citoyenneté doit inclure les animaux afin de reconnaître leurs droits. Sensible à l’éthique animale il a la volonté de défendre cette cause dans les espaces politiques en portant le projet du Parti animaliste.

- 79. Adriane BENOIT (Maine-et-Loire) 20 ans, étudiante en Droit
- Adriane s’est intéressée à la protection des animaux par le Droit. Sachant que pour faire changer les lois et considérant que les politiques passées ne s’en sont pas préoccupées, il lui a paru nécessaire de s’impliquer dans le monde politique et de s’engager avec le Parti animaliste. L’Union européenne, par ces actes, influence l’évolution du Droit chez les Etats membres qui la compose. La France se doit d’évoluer, de ne pas seulement être l’Etat des droits de l’Homme mais l’État des droits de tous les êtres vivants.